Sur l'image ci-contre des membres de l’Association des Critiques Taurins de France actuellement présidée par Bernard Feurer.
Lorsque Prosper Mérimée, à la fin du XIXe siècle, a raconté à ses lecteurs une corrida, faisant entrer, pour la première fois, les toros dans la littérature française, il n’a pas, pour autant fait œuvre de critique taurin.
Le genre a été long à trouver sa véritable dimension.